Parution : 20/11/2014
ISBN : 9782360541546
256 pages (14,8 x 21)

20.00 €

Fleetwood Mac

EXTRAIT

Des brumes londoniennes au soleil californien, du rugueux british blues aux rondeurs molles du rock FM, Fleetwood Mac aura survécu à une route semée d’embûches et de tragédies personnelles.

Formé au Royaume-Uni en 1967, Fleetwood Mac possède tous les ingrédients nécessaires pour figurer parmi les plus grands noms du rock. Chef de file de la seconde vague du British Blues Boom initié par les Rolling Stones, les Bluesbreakers ou encore les Yardbirds, cette formation rencontre le succès dès son premier album et s’impose avec des titres iconiques comme « Black Magic Woman » qui, repris par Santana, connaîtra un succès international. En 1970, Peter Green – le talentueux leader du groupe – quitte la formation pour des raisons d’instabilité mentale et Fleetwood Mac opère un changement de cap musical qui les mènera du blues rock au rock FM et à la sortie de leur album phare – vendu à plus de 40 millions d’exemplaires – Rumours. Entre les nombreuses séparations, les départs et arrivées de musiciens et quelques passages à vides, la carrière du groupe a parfois été en dents de scie mais ils ont toujours su renouer avec le succès, à l’image de la tournée « On The Show » qui débutera en septembre 2014 et rassemblera tous les membres, ou presque, de la formation originale.

Revue de presse

Dominique Boulay Blues Magazine N°78 oct-nov-dec 2015
Fleetwood Mac, le grand retour Marc Lambrechts L'Écho 3 juin 2015
Tony Marlow Jukebox Mars 2015
L'itinéraire surprenant de Fleetwood Mac, du British blues au rock californien Boris Plantier Yuzu Mélodies 13 mars 2015
Jean-Christophe Mary Toute la culture 13 avril 2015
Livres Éric Doidy Soulbag 2e trimestre 2015
Fleetwood Mac Boris Plantier Yuzu Melodies 7 février 2015
Olivier Valerio Radio P.FM // Easy Rider 18 janvier 2015
Ça se passe com’ça chez les Mac Antoine Couder Gonzaï Décembre 2014
À Lire : Fleetwood Mac Romain Decoret Guitarist Acoustic 1e trimestre 2015
Book Corner Romain Decoret Guitarist & Bass Magazine Janv./Fév. 2015
Les livres de 2014 La rédaction Silence is sexy 31 décembre 2014

Ce livre est à la fois un chapitre essentiel de l’histoire du British Blues Boom des 60’s et un nouveau chapitre du rêve américain… De ce côté-ci de l’Atlantique, nous croiserons successivement l’emblématique Peter Green, Mick Fleetwood, John Mayall, John McVie, Mike Vernon, Jeremy Spencer, Christine Perfect épouse McVie, Danny Kiran, Bob Welch, parmi tant d’autres, et découvrirons 12 albums dont l’excellentissime Then Play One de 1969. De l’autre côté de la Grande Mare, 15 galettes sortiront et les ventes dépasseront, pour certains, les 40 millions d’exemplaires. Nous ne parlons ici que du catalogue officiel ! De nouveaux venus parmi les musiciens : Lindsay Buckingham ou Stevie Nicks, de nombreux départs et un opus qui figurera parmi les meilleurs ventes d’albums de tous les temps, Rumours, 1977. Les 23 titres interprétés lors de leur dernier passage parisien, le 12 octobre 2013 au POPB, ne comprenaient que des morceaux de leur période américaine, mais il n’en demeure pas moins que beaucoup d’entre nous n’auront retenu que le fameux groupe de Blues de la période britannique, tant tout a changé ensuite, y compris la tonalité des titres…

L’ouvrage a été écrit par un fan érudit qui connait le sujet sur le bout des doigts. Chaque disque est chroniqué de manière scrupuleuse, et nous suivons pas à pas chacun des protagonistes d’une histoire qui dure depuis plus de 45 ans et qui n’est toujours pas officiellement achevée… L’auteur passionne le lecteur et l’invite inconsciemment (?) à découvrir ou redécouvrir le catalogue musical de la prestigieuse formation.

Dominique Boulay
Blues Magazine N°78 oct-nov-dec 2015

Fleetwood Mac, le grand retour

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C’est ici le groupe Fleetwood Mac qui se voit consacrer un ouvrage très complet. Quoi, me direz-vous, ces “vieux dinosaures” de Fleetwood Mac? Peut-être, mais ce serait oublier l’extraordinaire et passionnant parcours de ce groupe, dont l’histoire est retracée très minutieusement par Jean-Sylvain Cabot, journaliste qui a collaboré au magazine Rock&Folk dans les années 80.

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Marc Lambrechts
L'Écho 3 juin 2015

Le parcours de Fleetwod Mac a de quoi laisser perplexe (admiratif !). Comment se groupe, devenu en 1968 le chef de file du british blues boom avec trois albums fondamentaux, puis qui explose en plein vol, a-t-il pu se réinventer aux USA et devenir un des plus gros vendeurs de tous les temps en enregistrant du rock calibré pour les radio FM ? C’est le sujet de ce livre, le premier consacré en France à cette saga qui prend son essor dans le Londres du début des années 60 au son des Shadows, de Johnny Kidd et Billy Fury.

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Tony Marlow
Jukebox Mars 2015

L'itinéraire surprenant de Fleetwood Mac, du British blues au rock californien

Jean-Sylvain Cabot, spécialiste du hard rock et ancien collaborateur de Rock&Folk, vient de publier un ouvrage sur Fleetwood Mac aux éditions Le Mot et le reste. L’occasion était belle de parler avec lui de ce groupe mythique du rock britannique.

Racontez-moi votre découverte de Fleetwood Mac ?

J’ai découvert Fleetwood Mac par John Mayall avec l’album A Hard Road sur lequel joue Peter Green, en remplacement de Eric Clapton parti fonder Cream. J’avais auparavant flashé sur l’album de John Mayall avec Eric Clapton. J’étais un fan de John Mayall et de groupes comme Chicken Shack, Savoy Brown, Groundhogs et tout ce qui tournait autour du British Blues et du label Blue Horizon. Un label, rappelons-le, fondé au départ pour Fleetwood Mac, car Mike Vernon, étant averti du désir de Green de quitter Mayall pour créer son propre groupe, saisit là l’occasion de former son label.

Je me suis donc intéressé à ce que faisait Peter Green et cela m’a conduit aux premiers albums de Fleetwood Mac.

À la base de Fleetwood Mac, il y a Mick Fleetwood et John McVie, deux musiciens incapables de composer. Sont-ils considérés comme de bons musiciens ?

Je pourrais vous répondre avec humour comme au sujet de Ringo Starr. « Le meilleur batteur du monde ? C’était même pas le meilleur batteur des Beatles ! » dira John Lennon en plaisantant. Mick Fleetwood, grand par la taille, n’est pas un grand batteur au sens technique. Il existe des dizaines de batteurs meilleurs que lui à l’époque. Lors de mes recherches, je suis tombé sur un classement des 100 meilleurs batteurs de rock, il arrive à la 59e place, derrière Ringo Starr 47e, alors que je pense que Mick Fleetwood est un meilleur batteur que Ringo Starr mais là n’est pas la question. Comme Ringo, il assure et ce qu’il fait est très basique mais suffisant pour la musique de Fleetwood Mac qui n’est pas d’une grande complexité. Ce qui est intéressant, c’est que Mick Fleetwood est quelqu’un de passionné par les percussions et les instruments africains qu’il collectionne.

Quant à John Mc Vie, c’est un très bon bassiste, un excellent musicien à qui on ne la fait pas. Lindsey Buckingham s’y est frotté à son arrivée. Lui aussi, son style colle parfaitement à la musique du groupe.

Leur principal problème fut de ne pas composer et de savoir écrire des chansons. Ce qui explique la constante recherche de Mick Fleetwood pour des guitaristes-chanteurs et surtout compositeurs…

Le premier Fleetwood Mac était un groupe de jeunes garçons déconneurs. Que leur a-t-il manqué pour devenir un vrai grand groupe ?

Des garçons déconneurs, çA c’est un aspect, en effet, qu’on n’associe pas vraiment à Fleetwood Mac, et pourtant, c’est à l’époque une bande de joyeux drilles, de gais lurons… Jeremy Spencer est le pitre du groupe et amuse tout le monde avec ses imitations.. Son imitation de John Mayall est hilarante.
N’oublions pas que sur scène, une bonne moitié des concerts est réservé à son show rock’n’roll, avec des reprises de rock et une imitation d’Elvis Presley.

Ce qui m’amuse dans votre question, c’ est l’adjectif vrai. Un vrai grand groupe. Et qu’est-ce qu’un vrai grand groupe ? Pour ma part, je pense que Fleetwood Mac a été un vrai grand groupe en 1969. C’est l’époque où ils sont à leur zénith artistique et commercial, alignant plusieurs tubes d’affilée. Le single « Albatross » a été numéro un en Angleterre, « Man Of The World » numéro deux et « Oh Well » numéro deux. Sans oublier « Black Magic Woman » sorti l’année d’avant et qui va être un tube énorme pour Carlos Santana en 1970. C’est aussi l’année de Then Play On et de leur seconde tournée américaine où Peter Green et ses compagnons deviennent très appréciés du public américain et de la critique. Une compilation English Rose paraît en Amérique début 1969 pour les faire connaître.

Parallèlement, leur musique est par ailleurs en train d’évoluer. Elle devient plus électrique, plus heavy, et psychédélique, sur scène t les morceaux s’étirent en de longues jams, sous l’influence des groupes californiens. Les concerts de cette époque sont fabuleux. 1969 est une année décisive, l’année de leur consécration. Ce n’est pas pour rien que les lecteurs du Melody Maker les place dans leur référendum de fin d’année aux premières places. Peter Green est même sacré meilleur compositeur avant Lennon-McCartney et Jagger-Richards. Et on a du mal aujourd’hui à imaginer leur immense popularité.

En fait, 1970 aurait du être l’année de leur consécration internationale si le départ de Green n’avait tout remis en question. Mick Fleetwood pense qu’ils n’avaient rien à envier à Led Zeppelin et qu’ils auraient pu connaître le même genre de réussite. Il n’a pas foncièrement tort sauf que Peter Green, lui, n’a jamais eu pour ambition d’être une rock star, de jouer le jeu du show-bizness et de collectionner les disques d’or…

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Boris Plantier
Yuzu Mélodies 13 mars 2015

« Don’t Stop », « Dreams », « Second Hand News », « Go Your Own Way »… Ces titres pop rock joyeux, bondissants et plein d’énergie folk ont marqué à jamais les générations de mélomanes.

Formé au Royaume-Uni en 1967, Fleetwood Mac dont les ventes d’albums se comptent par millions figurent aujourd’hui parmi les plus grands noms du rock. La tournée américaine 2014 aura été fructueuse « avec 42 dates rapportant 58 millions de dollars et prennant ainsi la place des tournées les plus lucratives de l’année derrière les Rolling Stones et Taylor Swift ». Chef de file de la seconde vague du British Blues Boom initié par les Rolling Stones, les Bluesbreakers ou encore les Yardbirds, le groupe rencontre le succès dès son premier album et s’impose avec des titres iconiques comme « Black Magic Woman » qui, repris par Santana, connaîtra un succès international. En 1970 Peter Green, talentueux leader et auteur du magnifique « Albatross », quitte la formation. Fleetwood Mac opère alors un changement de cap musical qui les mènera du blues rock au pop rock FM et à la sortie de leur album phare « Rumours », vendu à plus de quarante millions d’exemplaires. Le groupe, pris dans le tourbillon de la célébrité drogue, violence conjugale, jalousie connaitra un lent déclin.avant de renouer avec le succès ces dernières années. Quoi qu’il en soit des titres tels « Dreams », « Don’t Stop », « Go Your Own Way » sont autant de standards qui resteront gravés dans les mémoires.

À travers les illustrations des pochettes d’albums, Jean-Sylvain Cabot nous présente l’histoire de l’un des plus célèbre groupe pop des 70’s. Des débuts à Londres en 1968 avec les album « Fleetwood Mac » et « Mr. Wonderful « à la mise à feu en avec « Bare Trees et Penguin », à la gloire mondiale avec « Rumours » et «Tusk », le journaliste raconte en détails l’itinéraire du groupe et les péripéties qui ont émaillé la vie du groupe. Les drames, les succès, les enregistrements, les parcours personnels et les tournées aux quatre coins du globe se racontent ici au rythme d’anecdotes et une foule détails croustillants : succession de guitaristes (Peter Green sorte de Syd Barrett dont l’état mental sombrera vite dans la schizophrénie, Bob Welch, puis Lindsey Buckingham), de périodes artistiques bien distinctes (british blues, pop rock californien) mais aussi la drogue omni présente, les violences conjugales, la jalousie . Cet ouvrage jette un éclairage sur l’histoire des membres qui forment des couples à la scène comme à la ville. L’histoire d’amour de Mick Fleetwood avec Stevie Nicks, la création d’albums emblématiques comme « Rumeurs » et « Tusk » ainsi que les nombreux moments incroyables et scandaleux de l’enregistrement (sachets de coke sous la console d’enregistrement), les tournées, les combats, mais aussi l’amour qui a lié les musiciens, tout est raconté, livré en détail. L’auteur décrit les temps fort de la vie du groupe avec l’honnêteté que les lecteurs attendent, propose également une discographie année par année dans laquelle chaque album est finement analysé. C’est ainsi que l’on revisite ces années 70 exceptionnellement denses, la rupture jusqu’à la reformation avec Christine Mc Vie en mars 2014.
Mélodies entêtantes, rythmiques pop groovy, voix légères, voilà l’histoire de Fleetwood Mac.

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Jean-Christophe Mary
Toute la culture 13 avril 2015

Livres

Le groupe du batteur Mick Fleetwood et du bassiste John McVie a traversé plusieurs fructueuses carrières au fil de ses différentes incarnations, du sommet du British blues boom au temps où il était emmené par le génial Peter Green, à celui du rock FM californien en compagnie de Stevie Nicks et de Lindsey Buckingham. Le premier mérite de cet ouvrage est de montrer que l’apparent fossé entre ces deux groupes du même nom cache en fait plus de continuités qu’on ne le pense au premier abord : des va-et-vient discrets de Green ou de ses compositions au travail de transition assuré par des musiciens moins souvent cités, comme Danny Kirwan ou Bob Welch. On peut trouver certaines affirmations assez exagérées (les doubles CD Vaudeville Years et Showbiz Blues présentés comme “essentiels et indispensables” alors que ce sont des documents pour fans complétistes au son plus que passable), mais on apprend au final beaucoup et on se surprend à avoir envie de découvrir des albums auparavant négligés car trop commerciaux…

Le site de Soulbag

Éric Doidy
Soulbag 2e trimestre 2015

Fleetwood Mac

Fleetwood Mac a plusieurs vies et rares sont ceux qui les connaissent toutes. Jean-Sylvain Cabot nous les raconte dans un livre qui vient de paraître aux éditions Le mot et le reste.

Jean-Sylvain Cabot, spécialiste du hard rock et ancien collaborateur de Rock&Folk, a eu la bonne idée de consacrer un livre au groupe Fleetwood Mac, aussi célèbre que méconnu. Célèbre car tout le monde a entendu parler de Fleetwood Mac et de son album légendaire Rumours. Méconnu car Fleetwood Mac est un groupe protéiforme qui a considérablement évolué avec le temps, changeant fréquemment de personnels mais aussi d’univers musical.

Voici donc l’histoire du batteur Mick Fleetwood et du bassiste John McVie, deux jeunes hommes buveurs à l’humour potache qui, bien qu’incapables de composer une chanson, décident de former l’un des plus grands groupes de rock du monde en s’entourant de guitaristes, chanteurs et compositeurs de talent.

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Fleetwood Mac se lit très bien et l’on se dit souvent que cette histoire ferait un excellent film, une comédie un peu loufoque riche en péripéties improbables.

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Boris Plantier
Yuzu Melodies 7 février 2015

L’émission Easy Rider vous parle de notre ouvrage entre deux chronique d’albums et une chronique de bière !

RÉÉCOUTEZ L’ÉMISSION SUR LE SITE D’EASY RIDER

Olivier Valerio
Radio P.FM // Easy Rider 18 janvier 2015

Ça se passe com’ça chez les Mac

C’était le 9 décembre et j’étais dans un avion qui ne bougeait pas. Le brouillard, l’air du temps… un bref instant de stress ? J’ai fini par attraper la bio de Fleetwood Mac récemment parue chez Le mot et le reste. Et là j’ai vraiment décollé.

Je ne connais pas Sylvain Cabot, l’auteur de ce livre, mais il me semble plus bonzaï que gonzo ; ce qui est déjà super. Obsessionnel dans ce souci de compiler la discographie des milles types qui ont joué avec Fleetwood Mac, inquiétant et même impudique dans sa façon de tranquillement céder aux sirènes du hard-rock voire du rock FM. Fascination un peu honteuse qui le pousse sans doute à écrire ce livre factuel et tellement précis conçu pour entrer directement dans la bibliothèque des critiques rock. Du coup, bêtement, j’ai eu envie de briser son sommaire et d’inverser sa ligne chronologique totalement désuète et cette présentation des musiciens par fiche qui fait carrément peur. Oui, tout seul dans mon avion immobile, je m’imaginais démarrer le livre par l’annonce en 2013 de la ré-édition par Rhino records de ce qui serait un chef d’œuvre de British Blues, Then Play On (1969). Le disque libre et fou, fondateur du style Fleetwood Mac. Style qui, en gros consiste à laisser les commandes aux génies de passage (ici Peter Green et Danny Kirwan) tandis que les deux fondateurs, Mick Fleetwood, batteur de son état et le bassiste John McVie attendent les consignes … parce que c’est vraiment le cœur de l’histoire : deux losers qui finissent par vendre soixante millions d’albums quarante ans durant en passant leur vie artistique à buller et à se raconter des blagues salaces.

Quelque part Fleetwood Mac est presque un cas d’école du génie de la créativité, au sens de sa persistance ; toute une puissance de la stupidité que raconte en creux ce livre qui à vrai dire peut provoquer un effet de fascination en raison de son faux détachement, son ivresse lointaine. Finalement qu’ont donc apporté les deux fondateurs du FM à l’histoire de la musique, à part provoquer la création du groupe Abba ? Des visages étonnés, des lèvres qui cherchent les mots pour expliquer l’inexplicable et puis ce que l’on va appeler un mutisme inspiré qui va permettre à deux filles, inspirées elles aussi, de chanter et de composer en plein machisme rock ? Cabot c’est là que tu deviens passionnant, en faisant découvrir aux pauvres hères que nous sommes la musique tout en finesse de Christine McVie (l’épouse donc) alias Christine Perfect et sa voix de demie travelo; chienne perdue sans collier chantant un blues semi-urbain entre ruminement et transport en commun, No roads is the right road, I’m on my way ou I’m too far gone …. Je crois que ma préférée, c’est certainement Crazy about you avec les Chicken Shacks son premier groupe.

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Antoine Couder
Gonzaï Décembre 2014

À Lire : Fleetwood Mac
Les fans de Fleetwood Mac se rueront sur cette analyse biographique et discographique de leur groupe préféré. Un travail très documenté sur la géométrie variable d’un groupe qui commença avec le pur blues de Peter Green & Jeremy Spencer, avant de se consacrer au rock FM de Danny Kirwan, puis au soft rock californien de Lindsey Buckingham & Stevie Nicks. Les 27 albums officiels, bootlegs et compilations du groupe mené par Mick Fleetwood sont commentés ainsi que les différents musiciens de chaque phase et leurs albums solo.
Romain Decoret
Guitarist Acoustic 1e trimestre 2015

Book Corner
Cette analyse biographique et discographique de Fleetwood Mac est extrêmement bien documentée. Un travail de longue haleine sur la géométrie variable d’un groupe qui commença avec le pur blues de Peter Green & Jeremy Spencer, avant de se consacrer au rock FM de Danny Kirwan et Christine McVie, puis au soft rock californien de Lindsey Buckingham & Stevie Nicks. Les 27 albums officiels, les bootlegs et compilations du groupe mené par Mick Fleetwood sont commentés ainsi que les différents musiciens de chaque phase et leurs albums solo, incluant la tournée 2015 actuellement en cours et qui rassemble presque tous les membres originaux.
Romain Decoret
Guitarist & Bass Magazine Janv./Fév. 2015

Les livres de 2014

Fin d’année oblige, Silence is sexy dresse une liste des dix ouvrages musicaux qui ont marqué l’année 2014 pour la rédaction, Fleetwood Mac est l’un d’eux.

Le Fleetwood Mac, ce n’est pas que l’immense succès commercial de l’album Rumours sorti en 1977, et ce n’est pas que le rock FM porté par la voix sucrée et sensuelle de Stevie Nicks. Le groupe a eu une première période rythm’n blues psychédélique qu’il ne faudrait surtout pas manquer, lorsqu’il était encore dirigé par le guitariste virtuose Peter Green. On recommandera d’ailleurs le parfait Then Play On, entre Led Zep et Neil Young période Harvest. L’ancien journaliste de Rock&Folk et auteur de plusieurs livres sur le gros rock Jean-Sylvain Cabot nous propose donc ici une revue de détail des meilleurs albums du groupe.

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La rédaction
Silence is sexy 31 décembre 2014
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