Coups de cœur de libraires !
« J’ai aimé ce texte. Je trouve que c’est un portrait très juste de notre société transposé à l’échelle de ce village. Il a encore une fois des personnages puissants. Il y a de l’espoir grâce au collectif et aux signes de la vie. C’est très touchant. »
Marie, Librairie Olympique (Bordeaux)
“J’ai adoré. C’est un de mes chouchous de la rentrée. Des personnages qui résistent, se révèlent comme dans “De neige et de vent”. De grandes puissances de vie.”
Nicolas, Librairie Quai des mots (Louviers)
« Je ne voulais pas le finir, je l’ai fait durer.
C’est un grand roman contemporain, il parcourt beaucoup de thématiques d’aujourd’hui avec une grande habileté. C’est beau et rude à la fois. Ses personnages sont très réussis, certains sont très attachants. Ce roman est un antidote à la morosité et l’inquiétude de l’époque actuelle. ”
Xavier, Librairie Le Gang de la Clef à Molette (Marmande)
“Quand on termine ce roman, on a traversé avec ses personnages de durs moments, on en a perdu un certain nombre mais c’est une belle lueur d’espoir qui germe en nous. Lire les livres de Sébastien Vidal c’est se réconcilier un peu avec l’humain tout en gardant à l’esprit que le mal est toujours tapi, là, tout près…”
Aurélie, La Pléiade (Cagnes sur mer)
“Sébastien Vidal livre un roman noir vibrant, qui capte la tension sociale avec justesse et émotion. Ce livre puissant et sensible résonne comme un appel à la solidarité dans ces temps incertains !”
François, Librairie La promesse de l’aube (Autun)
“Après les fabuleux “Où reposent nos ombres” et “De neige et de vent”, Sébastien Vidal poursuit avec talent ses récits des 4 saisons – et cette fois-ci, c’est celle de la colère. Avec son écriture si juste et si fine, il se place dans la lignée des grandes fresques sociales littéraires qui dénoncent les injustices du monde mais n’oublie jamais, au cœur de cette obscurité, la petite lumière des êtres, l’humanité et la solidarité, celles qui font tenir malgré tout. Une écriture âpre et sincère, un équilibre parfait entre littérature et sociologie : on aime !”
Mélanie, Librairie La droguerie de marine (Saint-Malo)
“On attend toujours le nouveau roman de S.Vidal avec impatience, ses personnages sont très bien campés, rien n’est simple, ni noir ni blanc Et chacun tente de rester droit dans ses bottes, enfin presque… roman rural, social, psychologique… avec une très belle plume !”
Corinne, Librairies Le domaine des murmures (Champagnole)
“Un roman foisonnant et bouillonnant d’actualité”
Raphaël, L’arbre du voyageur (Argenton-sur-Creuse)
“Un roman noir, social, qui rappelle que des colères peuvent construire une lutte nécessaire, convergente ! Une galerie de personnages dépeints avec finesse et poésie, attachants pour moult raisons des lieux qui parlent un rythme soutenu un roman qui bouleverse secoue ajuste face à la dureté du réel et porte la solidarité aux nues. Une certaine forme de résistance ! Haletant et emportant !”
Margot, Librairie Passages (Lyon)
“La petite cité de Lamonédat est secouée par un mouvement social et un projet touristique écocide. Sébastien Vidal signe un nouveau polar où l’humain passe avant tout et où la convergence des luttes se raconte avec poésie. Un très bon moment de lecture !”
Marie, Librairie Vents de Terre (39)
Revue de presse
”(..) Meurtres, disparitions, manipulations politiques, manœuvres troubles, l’intrigue se tend et se resserre à mesure que les combats s’intensifient. Mais derrière le suspense, c’est une réflexion plus large qui s’impose. Peut-on sauver l’emploi sans sacrifier la nature ? Peut-on défendre une cause sans en mépriser une autre ? Sébastien Vidal ne tranche pas, il donne à voir la complexité et, surtout, il place au premier plan la force de la solidarité. En refermant Une saison de colère, le lecteur garde le sentiment d’avoir traversé une tempête. Colère, désespoir, mais aussi fraternité et renaissance irriguent ce roman qui, malgré sa noirceur, laisse briller une lumière. « une saison de colère » nous rappelle qu’il y a dans les combats collectifs, dans la convergence des luttes, une part de beauté et d’espoir. Sébastien Vidal signe un roman puissant et nécessaire, qui rappelle que la littérature peut encore dire la révolte, mais aussi révéler la tendresse tapie dans les replis du réel.”
“Dans Une saison de colère, Sébastien Vidal imagine une petite ville de Corrèze secouée par différentes luttes qui finiront par se rejoindre. Il nous propose ainsi un beau roman noir, social, écologique et humaniste, porté par un écriture ample et lyrique. L’intrigue d’Une saison de colère se déroule en Corrèze, à Lamonédat plus exactement, petite commune fictive inventée par Sébastien Vidal pour les besoins de son récit. Alors que le printemps s’annonce et que la nature s’éveille doucement au sortir de l’hiver, les ouvriers de l’usine VentureMétal s’épuisent dans leur combat contre la fermeture du site. La direction parisienne a brutalement annoncé la délocalisation de la production et, depuis cette terrible nouvelle, les hommes et les femmes qui ont tant donné pour VentureMétal occupent l’usine et se sont engagés dans un bras de fer contre leur employeur. Pendant ce temps, le maire de Lamonédat et sa conseillère fomentent en secret un projet pour s’enrichir : profitant de la colère qui gronde à VentureMétal, ils ont mis sur pied un vaste projet de complexe touristique dont la première conséquence sera la destruction de la Coulée verte, magnifique forêt au milieu de laquelle se dresse « Belle mèche », un hêtre immense devenu le symbole de la ville. Lorsque les plans du premier édile sont révélés, une autre lutte s’organise et une ZAD est créée au cœur même de la Coulée verte. Et Lamonédat devient l’épicentre de toutes les colères… A partir de ces deux luttes – l’une sociale, l’autre écologique -, Sébastien Vidal va déployer un récit aux multiples personnages : Gregor, le délégué syndical altruiste ; Julius, l’ancien gendarme qui possède un mystérieux « don » ; Jolène, une tueuse professionnelle amatrice de polars ; ou encore Jarod, un zadiste surnommé l’écureuil… Tous sont réussis et attachants, y compris Jolène qui, après avoir été longtemps au service des basses œuvres de l’État, va elle aussi se révolter et laisser parler sa colère. Ces quatre personnages, et tous ceux qui gravitent autour d’eux, s’étoffent progressivement au fur et à mesure du roman. Vidal ausculte leurs plaies, analyse leurs doutes, loue leurs qualités et l’on perçoit alors tout l’humanisme d’un auteur qui, en dépit de la noirceur de son intrigue, croit encore en la bonté et en la solidarité. Et en effet, l’un des enjeux du roman réside dans la façon dont les trajectoires de ces individus vont finir par se rejoindre. Une saison de colère raconte donc deux luttes : l’une pour la préservation de l’emploi, l’autre pour la protection de la nature. Si leurs causes et leurs objectifs peuvent d’abord paraître antithétiques – d’ailleurs Vidal évoque assez bien les fractures qui vont venir diviser la population de Lamonédat -, les principaux personnages du roman vont bientôt comprendre que la convergence de leurs combats est nécessaire, voire inévitable. Finalement, ouvriers et zadistes œuvrent ici pour une seule et même chose : une forme de dignité. La colère qui gronde finit par éclater alors que jaillit le printemps, saison du renouveau et de l’espoir. Faut-il aussi y voir une allusion à Germinal, autre roman de la colère ? C’est probable. Ce qui est certain, c’est que Sébastien Vidal évoque le printemps et la nature avec beaucoup de soin et les passages descriptifs qui parsèment le roman lui permettent de déployer une belle écriture, précise et lyrique, et le lecteur perçoit alors tout l’amour de l’auteur pour la nature.
Pour autant, on aurait tort de croire qu’Une saison de colère n’est qu’un roman à thèse. Des idées, des convictions, il y en a dans ce livre tout en nuances mais qui n’oublie pas son intrigue policière. Un complot, plusieurs meurtres, une enquête policière : Vidal use parfaitement des ingrédients habituels du genre. Une Saison de colère est donc bien un polar, genre auquel l’auteur semble très attaché et auquel il rend discrètement hommage. Ainsi Jolène est-elle une lectrice de polars (Manchette, Jonquet et Elmore Leonard sont évoqués). Et puis, comment ne pas voir dans le nom donné à l’arbre au centre de La Coulée Verte un clin d’œil au célèbre Dave Robicheaux de James Lee Burke, lui aussi surnommé « Belle Mèche »… On l’aura compris, Une saison de colère est une belle réussite et, en le refermant, on n’a qu’un seul regret : être passé à côté des précédents romans de Sébastien Vidal. Une erreur que l’on va réparer le plus rapidement possible.”
“L’écrivain tulliste Sébastien Vidal a publié ce vendredi 22 août Une saison en colère (Le mot et le reste). Un roman choral qui explore les affres du capitalisme et du changement climatique. Sur la couverture, le ciel rougeoie, menaçant. Sous sa plume, la colère enflait depuis plusieurs années déjà. « Elle couvait comme de la braise », reconnaît Sébastien Vidal. Comme un symbole, deux scènes de feu ouvrent et ferment le nouveau roman qu’a publié, ce vendredi 22 août, l’écrivain corrézien. Quatrième opus d’une série évoquant les saisons, après Ça restera comme une lumière, Où reposent nos ombres et De neige et de vent (prix Landerneau polar 2024). « Ce roman vient de loin, il me brûlait. » La vision d’un homme faisant la manche l’a lancé sur la piste de ce roman choral aux allures de polar, engagé et poétique. « Je savais que ce serait un roman, qu’il y avait un potentiel derrière cette scène », raconte-t-il.”
“Je viens de tourner la dernière page d’Une saison de colère et je peux le dire, je l’ai lu d’une traite, le souffle court, les dents serrées. Dès les premières pages, la colère a jailli. Celle des personnages, mais aussi la mienne. Une colère sourde, enfouie, que Sébastien Vidal fait remonter à la surface avec une intensité rare. J’avais découvert l’auteur avec De neige et de vent, un polar en huis clos, qui n’en était pas vraiment un, où la nature et l’humanité se répondaient. Avec son nouveau roman, il va encore plus loin. Ce polar est un prétexte pour mettre en avant la voix collective, celle des habitants de Lamonédat, qui pris au piège d’un système injuste, broyés par les décisions d’une multinationale toute-puissante, se doivent de réagir. VentureMétal ferme ses portes. Derrière les licenciements, les mensonges, les manœuvres politiques, se cache une vérité bien plus sombre. Et quand les plus riches imposent leurs règles, que reste-t-il aux autres, sinon la colère et la révolte ? Sébastien est un écrivain courageux. Il ose pointer du doigt ce qui dérange. L’argent-roi, l’injustice sociale, le mépris des puissants pour les plus fragiles. Mais il ne s’arrête pas à la noirceur, il y met aussi de la tendresse, de la solidarité, de l’amour. Ses personnages, profondément humains, malgré certaines faiblesses, portent chacun une étincelle de lumière dans ce récit où tout pourrait basculer vers le chaos. C’est ce mélange qui m’a bouleversé, la dureté du réel, mais aussi la poésie, l’émotion, la beauté. Un roman fort, engagé, terriblement actuel, qui serre le cœur et le réchauffe à la fois. Oui, Une saison de colère est un grand livre. Et je ne peux qu’inviter chacun d’entre vous à le lire. Parce que nous devons rester unis et solidaires. Parce que la littérature, parfois, nous aide à transformer notre colère en force.”
“C’est parti pour la rentrée littéraire de cet automne 2025 ! Parmi les 484 romans attendus, nous vous proposons de découvrir les 20 « coups de cœur » de la rédaction. Des livres à retrouver dans nos pages, au cours des semaines à venir.”
“Saint-Jal – Sébastien Vidal est un homme en colère. En colère contre l’injustice, la xénophobie, la quête infernale du gain, les dégradations environnementales… Une colère qui transpire dans ses romans et tout particulièrement dans son dernier opus « Une saison de colère » publié chez le Mot et le reste.”