Coups de cœur de libraires
“Pour décrire Marseille noir dans les années 90 il y avait Izzo. Maintenant il y a Escobar. Plongez dans ce polar et dans les rues populaires de la ville, vous ne le regretterez pas. C’est fascinant, c’est chaleureux, c’est bordélique, c’est talentueux, c’est Marseille !!”
Anne, Librairie Charlemagne (Toulon)
Revue de presse
“Un roman noir, couleur anarco-no-Future, de Pascal Escobar, malgré un nom pareil, ça se déguste paisiblement, en savourant les dialogues, entre deux apéros, après un bon repas, comme ce fut le cas avec le « maître » (l’auteur barcelonnais, pas le trafiquant de cocaïne colombien). Stanislas, en bon marseillais, est un néo-détective qui sait prendre le temps de vivre, comme celui de continuer à courtiser sa compagne, et de poursuivre, comme il peut, l’éducation de son adolescente de fille. C’est un macho, à sudistes, mais féministe, LGBTQ+ friendly. Antiraciste et progressiste mais pas encarté. C’est un justicier solitaire, mais altruiste, très famille et bande de potes. En le lisant, on pense aussi à Andrea Camilleri, l’auteur sicilien, et à Leonardo Padura, le cubain, au sens où l’intrique du roman n’est qu’un prétexte à dresser le portrait d’une ville, d’une société basée sur les rapports de force. Où les vrais « bandits » ne sont pas toujours ceux que l’on désigne du doigt dans les médias, oubliant la lune cachée derrière les montagnes d’ordures en tout genre.”
À lire en ligne«-la-plaine-»-rap,-pizzas-et-bande-organisée.html
Pascal Escobar avec La Plaine s’inscrit dans la lignée des auteurs urbains de la Cité phocéenne avec son détective privé Stanislas Carrera. Le tout avec deux enquêtes (rap & food-truck) emblématiques et un style affirmé.
“Avec La Plaine, Pascal signe un deuxième tome puissant, à la fois noir et profondément humain. Je lirai sans hésiter le troisième volet de cette trilogie qui s’annonce déjà incontournable. Car, malgré ses horreurs et ses dangers, Marseille a ce charme brut et indomptable… et je crois bien que Pascal a réussi à ensorceler ma sensibilité.”