Parution : 18/03/2021
ISBN : 9782361397180
324 pages (14,8 x 21 cm)

20.00 €

Ça restera comme une lumière

“Un excellent roman !”

BePolar

Les libraires vous en parlent

Un roman fort, sensible. Réaliste et rêveur. Optimiste et fataliste. rédempteur et impossible. La vie dans toute sa complexité.
Corinne, Librairie Polinoise (Poligny)

Ce roman questionne la frontière entre le bien et le mal et les choix qui nous amènent à la franchir. Je trouve que Sébastien Vidal sait capter avec beaucoup de justesse le plein des silences qui relient les êtres. Ce sont ces moments là qui donnent du corps et de la force à son texte. Un auteur à encourager absolument.
Valérie, Librairie Préférences (Tulle)

Un livre que j’ai dévoré en 24H et qui m’a profondément touchée.
Aurélie, La Pléiade (Cagnes-sur-Mer)

Ce qui frappe immédiatement quand on le voit, c’est son œil, manquant. Pourtant Josselin a perdu bien plus pendant son service au Mali. Au moment de rentrer au pays, un souvenir s’impose à lui comme seule source de réconfort, celui d’un lointain été passé à Missoulat, en compagnie de Damien, Martin et surtout d’Emma. L’été des seize ans. En route pour retrouver ce qu’il reste de sa jeunesse, il fera la connaissance d’Henri, un artiste ferronnier que la vie n’a pas épargné non plus. Bientôt, les problèmes du vieil homme deviennent aussi les siens, et il découvre que même au sein d’une petite ville comme Missoulat, une tragédie politique et familiale peut briser des hommes et des vies. Entre crises post-traumatiques, fantômes du passé et règlements de compte, sa route vers la rédemption sera longue.

Revue de presse

- Ça restera comme une lumière J.G. et C.H. Les notes 11 juin 2021
- Interview de Sébastien Vidal Pierre Lajudie RTF Limoges / Le Café des amis 16 mai 2021
- Ça restera comme une lumière Unwalkers noirs 11 mai 2021
- Ça restera comme une lumière Jacques Brachet EvasionMag 25 avril 2021
- Ça restera comme une lumière Jean-Michel Isebe Polarmaniaque 26 avril 2021
- Ça restera comme une lumière Collectif Polar 18 avril 2021
- Interview de Sébastien Vidal Jérôme Vincent BePolar 15 avril 2021
- Ça restera comme une lumière Christelle Ma dose d'encre 18 avril 2021
- Ça restera comme une lumière Fanny Nowak Aire(s) Libre(s) 12 mars 2021
- Ça restera comme une lumière Maud Vandenbyvanghe Les lectures de Maud 23 mars 2021
- Ça restera comme une lumière Nicolas Elie Les chroniques de Nicolas Elie 21 mars 2021
- Interview de Sébastien Vidal La Vie corrézienne 19 mars 2021
- Ça restera comme une lumière Muriel Gaillard Blues et Polar 18 mars 2021
- Bonnes feuilles Actualitte 17 mars 2021
- Interview de Sébastien Vidal France 3 Limousin // JT 12.13 15 mars 2021

- Ça restera comme une lumière

[...]
Une fois entr’ouvert, on ne peut lâcher ce roman policier magistral ! Des corps disparus, des non-dits sur des actes cachés et anciens entretiennent le mystère. Les destins s’entremêlent, se croisent et se décroisent, dans cette région de tourbes, de silences et de violence qui sert de décor. Le texte est fluide, poétique, rythmé par le journal de bord de Josselin qui écrit à son ami disparu. Un beau roman noir, très humain, sur fond de familles qui se déchirent, le passé ressurgissant à chaque instant.

Une chronique à retrouver en intégralité sur Les notes

J.G. et C.H.
Les notes 11 juin 2021

- Interview de Sébastien Vidal

Sébastien Vidal était invité dans l’émission” Le Café des amis” animée par Pierre Lajudie sur RTF Radio Trouble Fête Limoge pour parler de son dernier roman Ça restera comme une lumière !

Réécouter l’émission du 16/05

Pierre Lajudie
RTF Limoges / Le Café des amis 16 mai 2021

- Ça restera comme une lumière

Pourrait on m’accuser de délits d’initiés, de collusion comme un Maire (muarf) ?
Tout cela votre honneur relève t’il du pénal ou de l’administratif ?
Je connais Sébastien, soit, mais alors si je suis accusé il n’y aura plus de Maire en place ^^
Bon, ok, je déconne…tous les jours de ma vie,mais j’adore
Sébastien Vidal, je l’ai connu par sa trilogie au cœur de la France en suivant son Gendarme.
Si le premier ne se distinguait pas plus que cela, la suite allait le démentir. Tel un capitaine au long cours, le voyage en écriture allait croissant, pour finir en éclat brillant avec son dernier et une novella bien triste.
D’ailleurs cette novella était un avant goût du périple du captain (say what) Vidal
C’était donc avec bonheur et surtout curiosité bien placé que j’attendais, tel un chat, pendant que lui se mettait à , la guitare (muarf), Mein Domain, alors ces barrés^^ ?
Ce fut un grand bonheur et un grand voyage que ce livre. Il est arrivé pile poil dans ma vie m’apportant sérénité et joie. Non je suis toujours pas croyant !
*Avec une forte histoire, Sébastien nous transporte dans son Amérique. Je l’ai perçu comme tel.
Comme un western, un homme arrive, et il va falloir se « battre » contre celui qui a le gros ranch pour faire rapide.*
J’avais remarqué à travers ses chroniques qu’ils se nourrissaient à deux mamelles, sa Corrèze, son Amérique.
C’est un beau panaché des deux.
J’ai mis plus de deux semaines et demi pour le lire, m’imprégnant de chaque mot, parcourant la nature avec les personnages, partageant leur sentiments,
C’est une réussite totale, je l’ai largement préféré au dernier William Vautlin, surcoté , couru d’avance.
Un très beau livre qui m’a fait un bien fou, sûrement un des meilleurs livres de ces dernières années.
Je ne te remercie pas pour la private joke, j’ai passé une demi heure à chercher un auteur, tu sais de quoi je parle…Salaud
J’espère que ce livre ne restera pas un petit secret entre amis.
J’ai un peu des doutes, ils préféreront surjouer leurs rôles en acclamant terre d’Amérique ou autres, ne prendrons pas de risque, bref, ils seront habituels dans leurs habitudes, que certains n’arrêtent pas de critiquer, une parodie…
Soit…
A te relire rapidement, viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

Une chronique d’Unwalkers Noirs

Unwalkers noirs 11 mai 2021

- Ça restera comme une lumière

Beau roman d’hommes, de force et de puissance.
Dès le début, la couverture nous plonge dans un cratère étincelant ou peut être dans le cratère d’un volcan. Le héros, militaire au Mali rentre au pays après avoir repris la vie active, ayant perdu un œil au combat, un ami de cœur et beaucoup d’illusions.
Traversant le Morvan de nuit en voiture, il heurte un chevreuil et se retrouve dans le fossé avec sa voiture hors d’usage et ne sachant que faire. Advienne que pourra il avance dans la nuit guidé par une lueur. Auprès de cette lumière il va trouver un homme solitaire, forgeron de son métier, meurtri lui aussi par la vie et qu’il va apprivoiser, estimer pour son art du feu et sa détresse, dont il va partager la vie jusqu’à nouer des liens très forts en vivant le drame qu’il traverse. Ce qui va le plonger dans des aventures extraordinaires qui vont le sortir de son marasme et de sa solitude .
Il redonnera un sens à sa vie en découvrant à la fois l’art du feu et du fer et l’amour.
Bon roman très âpre, très fort, qui nous entraine dans monde de bassesse et de haine mais qui nous donne aussi la recette du bonheur.

Une chronique à retrouver sur EvasionMag

Jacques Brachet
EvasionMag 25 avril 2021

- Ça restera comme une lumière

Quelle écriture, nom de Dieu, pardon pour cette interjection mais c’est amplement mérité! Et quels personnages, quel science du portrait à travers Josselin, Henri notamment, mais pas que….......C’est, à la base, l’histoire d’un retour en vue d’un ressourcement espéré mais ça ne va pas du tout se passer comme prévu. Josselin ayant perdu un oeil au Mali, voudrait bien retrouver l’ambiance paradisiaque de l’été 2007 avec ses jeunes amis mais….Un chevreuil, dans sa grande candeur, va en décider autrement et lui faire connaître le forgeron/sculpteur Henri avec lequel il va devenir comme un frère d’armes et un disciple. Il faut dire que Missoulat, la petite ville de son enfance, s’est singulièrement dégradé sous la férule de l’héritier Charles Thévenet, patriarche adipeux et acariâtre dont Henri reste une épine dans sa botte de tyranneau! C’est magnifique , enlevé, parfois chaud/bouillant,, et totalement addictif. [...] Un très grand merci à l’auteur et aux éditions Le Mot et le Reste.

Une chronique à retrouver en intégralité sur Polarmaniaque

Jean-Michel Isebe
Polarmaniaque 26 avril 2021

- Ça restera comme une lumière

C’est un roman sur la résilience…

Pour Josselin, ancien militaire, victime du syndrome post traumatique, qui n’arrive pas à faire le deuil de son compagnon d’arme, qui essaye de retrouver le pays de ses vacances d’ado, sa bande de potes qu’il a sans doute un peu idéalisés.
Pour Henri, sculpteur, veuf depuis quelques mois et en « froid » avec sa fille, qui attend juste un signe de sa part.
Emma, la fille d’Henri, enceinte des fruits d’un viol.
Pour Martin, le pote des vacances, qui a sombré dans l’alcoolisme et qui tente d’oublier ses erreurs. Et qui entretient des relations étranges avec la tourbière derrière son camping-car.
Tous les personnages attachants de ce roman, à suspense cependant, doivent se reconstruire…. Les autres, les méchants ne vont pas leur faciliter la tâche, toujours prompts à les faire replonger !

Une quête rurale, ce retour aux sources pour Josselin changera fondamentalement sa vie.

J’ai beaucoup aimé ce roman lumineux qui a un peu flatté mon côté « fleur bleue ». Ne vous moquez pas lecteurs, même une mamie-flingueuse, elle aussi monophtalme, peut apprécier le dénouement à la hauteur de ses attentes. Une belle chronique villageoise, plus noire que Clochemerle, plus actuelle et réaliste aussi. L’auteur a su y mettre tout l’attachement qu’il porte à ses terres corréziennes, dans la même veine que Franck Bouysse, … solaire !

Une chronique à retrouver en intégralité sur Collectif Polar

Collectif Polar 18 avril 2021

- Interview de Sébastien Vidal

Ça restera comme une lumière est l’histoire d’un vétéran qui rentre éborgné du Mali. C’est aussi l’histoire de son amitié avec un vieil homme, Henri, artiste ferronnier lui aussi cabossé par la vie. Et puis c’est l’histoire d’une petite ville, Missoulat, où il se passe des choses pas très nettes. Un excellent roman !

Bepolar : Comment est née l’idée de votre roman, Ça restera comme une lumière ?
Sébastien Vidal : ce roman est né comme les autres, d’une scène que j’avais dans la tête. Pour tout dire, j’ai toujours au début, une scène qui m’apparaît. Je ne sais rien d’autre que ce que je vois de cette scène. Il y a souvent un ou plusieurs personnages, mais c’est surtout une question d’atmosphère. Cette « vision » est tellement puissante qu’elle reste longtemps, alors au bout d’un moment, si elle est toujours là, je me dis qu’il y a quelque chose à en tirer. Une scène qui va devenir un roman possède une force et une puissance que je reconnais immédiatement.
[...]

L’interview de Sébastien Vidal est à retrouver en intégralité sur BePolar

Jérôme Vincent
BePolar 15 avril 2021

- Ça restera comme une lumière

Attention, tout comme Josselin, vous n’êtes pas à l’abri d’une belle rencontre en vous aventurant entre les pages du nouveau roman de Sébastien Vidal, qui nous avait déjà ébloui avec sa trilogie : Les sentiments noirs, mettant en scène l’adjudant Walt Brewski.

Si Henri l’artiste ferronnier excelle en travaillant le métal, l’auteur lui cisèle son écriture jusqu’à obtenir une magnifique prose.

Tout comme Henri, il soigne sa présentation, façonne son décor, ses personnages pour nous offrir une œuvre étonnante et bouleversante.

Une prose pareille, ça donne envie de tourner les pages, pour découvrir l’histoire de ces deux hommes liés à jamais depuis ce fameux soir où la Lancia de Joss a fini dans le fossé.

Et puis en vous aventurant à Missoulat, vous ferez connaissance avec cette ville où vivent les loups entre eux, avec un chef de meute qui règne en maître.

Et comme Josselin vous pourrez au passage vous ressourcer au cœur de la nature si belle et si accueillante.

Une histoire sombre, où le passé rattrape le présent, mettant à jour de douloureux secrets entraînant quelques vengeances tout en libérant certains traumatismes, illuminée par la naissance d’une belle amitié où la transmission du savoir faire d’un homme restera comme une lumière dans le cœur du receveur.

C’est l’histoire des hasards, des retrouvailles, des règlements de compte qui donnent du sens à la vie, pour toujours et à jamais.

Un magnifique roman noir porté par une belle plume ça ne se refuse pas et c’est à découvrir dès maintenant aux Éditions Le mot et le reste.

Une chronique à retrouver en intégralité sur Ma dose d’encre

Christelle
Ma dose d'encre 18 avril 2021

- Ça restera comme une lumière

*Voici un roman noir, vif, sensible où l’Homme est noirceur et la nature, lumière.
Sébastien Vidal y fait des étincelles, c’est palpitant comme un western à la Samuel Fuller – cette scène de fin surtout – et puissamment beau comme un ciel incendié à la William Turner.*

[…]

Au milieu des gueules cassées, des sales souvenirs, des regards noirs, de barbouzes en goguette, de lâcheté, d’alcool et de coups de flingue, persistent ces moments de grâce.
« Un son de masse dans une longue foulée de métronome. Sous les impacts, des escarbilles et des lucioles bondissaient en éclaboussures merveilleuses. Ce mouvement paraissait brutal mais le geste contenait tant de grâce! Ce ferronnier d’art, c’était un danseur étoile en tablier de cuir. Dans le dos de l’artiste, le petit feu vulcanisait sa pitance noirâtre. La sarabande de l’acier emplissait l’atelier qui croulait sous sa robe fuligineuse. C’était le tocsin de la mine. Le marteau frappait et cognait avec précision. Il s’échappait de l’enclume des notes cristallines et aiguisées, elles découpaient la lumière et la matière, elles bringuebalaient des images furieuses d’un temps révolu et de gestes obsolètes. Rien ne les arrêtait, elles s’affranchissaient des frontières et se répandaient dans le hameau et le ciel. (…)»
Durant cette lecture, j’ai vécu ces moments de pause, portée par ce qui se rapproche de la poésie en gestes, cette manière de dire le beau dans sa simplicité, de dire la finesse dans la puissance, d’exprimer la pudeur d’un silence, l’intensité d’un regard.
Cependant, la fureur n’est jamais loin dans cette histoire au cœur ténébreux et Sébastien Vidal n’y va pas avec le dos de la cuillère – voir de la pelle – pour te dire les injustices, la misère sociale et affective, ce manque de considération pour l’humain, cette absence tenace d’égalité, d’équité, puis toute cette rage et ce désespoir qui en découlent.
Ça restera comme une lumière est à la fois un règlement de compte et une ode au Vivant, c’est âpre et éblouissant.
D’ Eddie Vedder en passant par Bruce Springsteen, d’ Antoine de Saint-Exupéry en faisant un détour par Richard Wagamese, Sébastien Vidal pose ses petites pierres blanches tout en distillant une sacrée bonne histoire tourbée – si ça existe, tu verras, c’est glaçant – faite de jeunesse égratignée et de secrets sanglants.
Coup au cœur façon Sergio Leone.

Fanny Nowak
Aire(s) Libre(s) 12 mars 2021

- Ça restera comme une lumière

Incandescemment noir ! Je ne sais pas si le mot existe, il faudrait l’inventer ! Très touchant et émouvant, du brûlant au glaçant ! Je vais m’expliquer…

J’ai totalement été emportée par Josselin qui souhaite se reconstruire suite à son départ de l’armée. Souffrant de choc post-traumatique en plus d’avoir laissé un œil au Mali. Il choisit de retourner sur un lieu de vacances lointain. Le temps a passé et pourtant il sait que c’est là qu’il peut reprendre pied.

Sur des concours de circonstances il va être accueilli par Henri, veuf, ferronnier. Le tournant et la magie va s’opérer. Cette rencontre va se révéler comme étant LA rencontre. Entre personnes qui ont souffert, leurs échanges ou leur absence permettent à chacun de transmettre à l’autre.

Joss apporte sa jeunesse, sa présence, Henri le gîte, le couvert et lui ouvre les portes de sa passion et des codes de ses sculptures. Un duo improbable qui va être amené à affronter les difficultés, les rancunes, les affrontements car même si cette ville paraît paisible ; elle renferme au contraire des secrets, des violences, des luttes intestines et le tout sous un brouillard opaque où chacun préfère tourner les yeux et vivre « comme si de rien n’était ».

Un livre qui prend littéralement aux tripes, tant sur les descriptions de l’environnement, qu’avec les personnages. Le décor est à lui tout seul un protagoniste qui prend corps. Suivant les jours, l’angle de vision il peut être à la fois magnifique ou totalement austère. L’auteur choisit très habilement d’accentuer ou de distiller les ingrédients suivant les effets qu’il choisit de nous transmettre et des émotions.

Alors côté personnages on a du plus attachant où le lecteur peut se révolter suivant ce qui lui arrive !!! Au plus détestable où l’on aimerait rentrer dans le livre et distribuer quelques baffes. Pardon je m’éloigne… je m’emporte, ce livre m’a fait passer du sourire aux bords des larmes suivant les pages parcourues, des passages poignants. Cette lecture ne laisse pas indifférent, on se révolte, on a envie d’hurler, de plaisir et on profite des quelques moments d’éclaircies que permet la vie et l’auteur.

Un parallèle qui m’a totalement frappée pendant cette lecture, dans cette atmosphère : l’alternance du chaud et du froid dans les émotions. Certaines joies (chaud), les malheurs (le froid), comme l’impression d’être l’acier entre les mains d’Henri. Un coup dans la braise, un coup dans le seau d’eau froide… Entre les deux on se prend des coups, on s’en prend plein la tête au sens propre et figuré. Même ressenti avec les moments de la journée, le soleil et la nuit…

L’auteur place son récit dans le monde rural avec l’omniprésence de la nature mais ne tombe dans le cliché de l’ambiance idyllique, il démontre également la puissance et la pression que peuvent infliger par certaines personnes qui se sentent emplies de pouvoir et leurs dérives. Où l’absence de rébellion ou de dénonciation car tout le monde se connaît et ne souhaite pas faire de vague, il manquerait plus qu’on perde son travail…

Je me suis sentie au centre de cette histoire tellement l’auteur arrive à nous immerger, nous devinons certaines choses mais cela n’enlève en rien au plaisir de la lecture.

Des personnages denses qui ont du corps, une âme, une place, une histoire qui nous touchent de plein fouet. Le tout enrobé par une écriture très bien travaillée, aucune fausse note ; une pure merveille pour les yeux. Pour ceux qui, comme moi, ont lu les livres précédents de l’auteur, j’ai trouvé ici que l’auteur monte encore d’un cran pour notre plus grand bonheur.

Je crois vous avoir dit tout le bien que je pensais de ce roman noir sociétal, il ne vous reste plus qu’à le découvrir, j’espère avoir trouvé les bons mots, pour vous faire comprendre ce Coup de Cœur !!!

Une chronique à retrouver sur Les lectures de Maud

Maud Vandenbyvanghe
Les lectures de Maud 23 mars 2021

- Ça restera comme une lumière

Trois cents pages et quelques, lues en deux jours, c’est plutôt bon signe pour moi. Ça veut dire que je suis été dedans, comme disait un pote à moi (un intellectuel), et que je l’ai pas trop lâché.

Dans ce roman-ci, on est assez loin de l’enquête policière classique, et ça m’a bien arrangé, parce que je le dis de façon récurrente, les romans policiers, c’est pas ce que je préfère.

Même s’il est vrai que le style du garçon m’avait précédemment interpelé, j’avais été, il m’en souvient, assez réfractaire aux circonvolutions du vocabulaire. Tu me connais, je cause un langage somme tout assez basique, et quand ça dépasse deux cent quarante-huit mots, j’ai du mal à suivre.

Quand j’ai donc démarré « Ça restera comme une lumière », je me suis laissé espérer que l’ami Sébastien avait fait une croix sur le Jean-Jacques, (pardon Robert, je les confonds toujours), et que j’allais pouvoir m’intéresser à l’histoire pour de vrai.

Alors on va dire que je me suis intéressé à l’histoire.

Que les sentiments de Josselin (c’est le gars qui tombe en panne de bagnole pas loin de chez Henri) sont plutôt bien écrits et mis en avant.

On va dire aussi que le feu et l’eau (celle qui coule pas loin de chez Henri) sont présents et se combattent de plutôt très jolie façon, à l’intérieur de la forge d’Henri.

Ça, c’est beau.

On va dire surtout que le dénommé Henri, tu vas avoir envie de le rencontrer, et on retombe dans la relation maître et élève qui existait déjà dans les précédents romans de M’sieur Vidal, mais traitée de façon vraiment différente. Le semi-apprentissage transmis par Henri à Josselin est réellement passionnant et bien écrit.
[...]

Une chronique à retrouver en intégralité sur Les chroniques de Nicolas Elie

Nicolas Elie
Les chroniques de Nicolas Elie 21 mars 2021

- Interview de Sébastien Vidal

Depuis le 18 mars, le nouveau roman de Sébastien Vidal, « Ça restera comme une lumière » est disponible dans les librairies. Dans ce nouvel opus, l’auteur corrézien met un coup de projecteur sur les sentiments humains.

Retrouvez son interview dans La vie Corrézienne

La Vie corrézienne 19 mars 2021

- Ça restera comme une lumière
Ce roman est un livre plein de douceur, agréable à la lecture, malgré les difficiles souvenirs de ce militaire et de ses nuits sans sommeil. Mais tout finit par s’estomper au travers de la rencontre avec Henri, un ferronnier en qui il voit l’ami qu’il a perdu… Mais ce dernier va lui apporter aussi plein de problèmes. Ça restera comme une lumière est un livre passionnant auquel on prend plaisir à lire via des passages pleins de douceur, mais aussi des brutalités. Tout cela, dévoile l’âme humaine dans sa complexité et ses contradictions.
Muriel Gaillard
Blues et Polar 18 mars 2021

- Bonnes feuilles

Découvrez le premier chapitre de Ça restera comme une lumière de Sébastien Vidal sur Actualitte !

Lire le premier chapitre

Actualitte 17 mars 2021

- Interview de Sébastien Vidal

Sébastien Vidal était sur le plateau de France 3 Limousin pour parler de son livre Ça restera comme une lumière . L’interview est disponible en replay, à partir de 20min45.

Revoir le JT 12/13 de France 3 Limousin

France 3 Limousin // JT 12.13 15 mars 2021
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