Parution : 19/04/2024
ISBN : 9782360541416
190 pages (Broché)

19.00 €

Kraftwerk - NOUVELLE ÉDITION

Un ouvrage qui permet de revenir sur un des groupes pionniers en matière de musique électronique.
Dès les années soixante-dix, Kraftwerk forge une imagerie basée sur le mystère des hommes-machines et le culte du progrès technologique. Auteur de tubes inoxydables comme « Autobahn », « Radioactivity » , « The Robots », « Computer World », le quatuor de Düsseldorf s’empare de symboles forts de la modernité : l’autoroute, le Trans-Europ-Express, quatre hommes à l’allure robotique, le mouvement et la vitesse. En quelques mots, mélodies et pulsations synthétiques, il définit les canons esthétiques à la base de l’electro-funk, de la new wave, de la synthpop et de la techno, et à l’époque où les punks crient « no future », le groupe crée le rétro-futurisme, un langage visuel hérité du constructivisme russe, du futurisme italien et du Bauhaus. Retracer l’histoire de Kraftwerk, c’est assister à l’émergence des pionniers des musiques électroniques et décrypter le vocabulaire de la pop en tant qu’art majeur.

Revue de presse

_ Kraftwerk par Éric Deshayes Bruno Polaroid Culturesco 9 avril 2024
- Lectures Pascal Julo Abus Dangereux Janvier 2015
- Pocket Calculator Jean-Pierre Simard Rolling Stone Octobre 2014
- Kraftwerk en 3D, maximal effet Olivier Pernot Trax Novembre 2014
- Spectaculaire Agnès Léglise Rock&Folk Septembre 2014
- Und So Weiter... Benoît Carretier Tsugi Hors-Série #9 Novembre/Décembre 2014
- Le chant de la machine Thibaut Allemand Magic Octobre 2014
- Kraftwerk en 3D, maximal effet Erwan Perron Télérama 7 novembre 2014
- Interview d'Éric Deshayes Frédéric Girodineau Le Bazar Musikal 2 novembre 2014
- À la source du sample #4 - Kraftwerk Cédric Lalanne rf8 23 octobre 2014
- Le mot et le reste : cinq ouvrages d'une rentrée musicale Adrien Sourdoreille 21 octobre 2014
- Contres-Cultures Cédric Bru Les Obsédés Textuels 20 octobre 2014
- Kraftwerk, une histoire de robots ? Jean Rouzaud Novaplanet 25 septembre 2014
- Kraftwerk en musique Marco Shut Up And Play The Books

_ Kraftwerk par Éric Deshayes

“Avec brio, Éric Deshayes raconte et analyse ces différentes étapes de l’histoire de Kraftwerk et leurs créations. Il évoque ainsi qu’en unissant sons, langages, images et concepts, la démarche du quatuor s’approche d’un art total, sublimé actuellement par ses performances en 3D. L’ouvrage découpé en quatre parties – Das Konzept, Archéologie Sonore, La Production des Classiques et Rétro-Activity ! Live ! – foisonne d’informations, de références et d’introspections qui passionneront autant les fans des Hommes-Machines que les novices. Alors que Kraftwerk a perdu récemment l’un de ses fondateurs – Florian Schneider en Avril 2020 -, cette nouvelle édition du livre de Éric Deshayes chez Le mot et le reste rappelle combien ces pionniers et leur œuvre nous sont indispensables. Comme les autres 4…”

Chronique entière ici

Bruno Polaroid
Culturesco 9 avril 2024

- Lectures
Il y a eu très peu de livres écrits sur Kraftwerk en langue française. Pourtant, à l’image d’icônes comme les Doors, les Rolling Stones, Nirvana et autres groupes qui ont fait avancer l’histoire de la musique rock, Kraftwerk est un maillon fort. Obtenir des infos sur eux demande beaucoup de recherches, car nos 4 hommes-machines sont plutôt avares en interviews et en ragots. On ne connait rien de leurs vies privées (si ce n’est qu’ils aiment le vélo), on connaît à peine leurs visages. Au fil de 40 années, Kraftwerk n’a laissé filtrer que sa musique avec des visuels à la fois simples et tellement visionnaires. Au même titre que les Beatles et David Bowie pour ne citer qu’eux, Kraftwerk aura sans cesse créé des sons nouveaux. Des artistes complets. L’excellent livre d’Éric Deshayes retrace le parcours discographique du groupe. Chaque titre est évoqué. Mais sans rentrer dans une précision de maniaque, l’auteur nous rapporte ses impressions, avec de nombreuses anecdotes, d’extraits de chroniques d’époque et toujours le contexte dans lequel l’album s’est créé. On y parle de tournées, d’instruments (et donc de technologie), leur rapport aux médias (dans les années 70, le groupe a fait beaucoup de tubes, notamment en France), leur vision de citoyens allemands et européens. On dévore ce livre, tant l’écriture est fluide et nous apporte à chaque page son lot d’informations. Indispensable et complémentaire du Mystère des Hommes-Machines de Pascal Bussy aux éditions Camion Blanc.
Pascal Julo
Abus Dangereux Janvier 2015

- Pocket Calculator
Quand Ralf Hütter et Florian Schneider fondent leur Organisation, ils ne savent pas qu’en adaptant l’esthétique du futurisme machinique à la technologie, ils se réinventent une identité allemande. Selon l’auteur, il en résultera “une suite de modèles inoxydables qui seront repris et adaptés par l’électro-funk, l’électro-pop, le hip-hop ou la techno.”
Jean-Pierre Simard
Rolling Stone Octobre 2014

- Kraftwerk en 3D, maximal effet
Alors que Kraftwerk excite ce mois de novembre avec ses huit concerts à la Fondation Louis Vuitton à Paris, l’éditeur Le mot et le reste est dans le juste tempo en publiant ce livre biographique court et complet sur le groupe allemand. Spécialiste de la scène expérimentale et alternative des années 1970 et auteur d’ouvrages sur Can ou de L’Underground musical en France, Éric Deshayes se penche sur le parcours de cette formation légendaire, pionnière des musiques électroniques. Il retrace l’épopée du groupe de Düsseldorf en décortiquant sa discographie qui couvre plus de quatre décennies et aborde des thématiques connexes : les influences plastiques, l’esthétique graphique, la manipulation de symboles et de concepts, la dimension audiovisuelle, l’appropriation de la technologie, le langage musical futuriste, etc.
Olivier Pernot
Trax Novembre 2014

- Spectaculaire

L’intelligence, le secret, c’est toujours l’intelligence. Même dans le rock, semble-t-il.

Déroutant et complexe, le groupe allemand Kraftwerk, le plus grand pionnier des musiques électroniques, a toujours eu une place à part dans l’histoire de la musique, indissociable aussi de celle des techniques utilisées. Éric Deshayes remonte ici aux origines du groupe et déroule son parcours hors normes et toujours original. Fondé en 1970 par des passionnés de musique expérimentale, le groupe n’a dès lors cessé d’innover et d’influencer la musique contemporaine, tant par ses expérimentations techniques d’avant-garde que par son approche maîtrisée et théâtrale de la scène et, après plus de quarante ans, la modernité du groupe, paradoxalement intemporelle, reste intacte. Robots, vocodeurs, technologies de pointe, ses innovations et ses trouvailles ont, faut dire, quasiment révolutionné la musique, influencé à peu près tout le monde et “inscrit son code génétique dans toutes les tendances de la pop électronique”, rien que ça. Visuellement aussi, son indéniable originalité et ses concepts graphiques ont marqué l’imaginaire et imposé la vision d’esthètes sophistiqués dans ces temps disco ou punk. Musique intelligente, machines électroniques, musiciens tellement discrets qu’ils en sont anonymes ou presque, ont fait de Kraftwerk et de ses hommes-machines un phénomène unique que la parfaite écriture de Deshayes dissèque impeccablement.

Agnès Léglise
Rock&Folk Septembre 2014

- Und So Weiter...

À l’occasion de la tournée de Kraftwerk à la Fondation Louis-Vuitton au mois de novembre 2014, Tsugi consacre son neuvième hors-série au groupe futuriste. Éric Deshayes y écrit un article ” Krautrock, kosmische et autres rêves synthétiques” sur quatre pages.

En fin du magazine, le rédacteur en chef adjoint, Benoît Carretier, dresse une liste des ouvrages qu’il faut lire sur la formation allemande, on y retrouve celui d’Éric Deshayes :

“Tout juste sorti des presses, une biographie classée par grandes périodes discographiques écrite par un grand amateur de musique expérimentale. Porte d’entrée idéale à l’univers des Allemands, il détaille album par album (et tournée par tournée) le parcours au long cours de Kraftwerk.

Benoît Carretier
Tsugi Hors-Série #9 Novembre/Décembre 2014

- Le chant de la machine

Magic chronique le nouveau livre d’Éric Deshayes. Un ouvrage que Thibaut Allemand trouve remarquablement documenté.

“Reste une lecture qui, par ses partis pris et ses choix d’éclairage, dresse un portrait plutôt complet d’un des groupes les plus novateurs de l’histoire…”

ACCÉDER À L’ARTICLE DANS SON INTÉGRALITÉ

Thibaut Allemand
Magic Octobre 2014

- Kraftwerk en 3D, maximal effet

Erwan Perron était au premier concert de Kraftwerk à la Fondation Louis-Vuitton. Il nous livre un compte-rendu du show et glisse un note enjouée à la fin de son article sur le livre d’Éric Deshayes :

”À lire : Kraftwerk, par Éric Deshayes (éd. Le mot et le reste), livre fort bien écrit et documenté, dans lequel on apprend, entre autres, que les Krafkwerk ont eu l’idée du morceau Trans-Europe Express au restaurant Le Train Bleu, Gare de Lyon, à Paris !

LIRE LE COMPTE-RENDU D’ERWAN PERRON SUR LE CONCERT DU 06 NOVEMBRE

Erwan Perron
Télérama 7 novembre 2014

- Interview d'Éric Deshayes

Avec deux précédents ouvrages déjà publiés au Mot et le reste (Au delà du rock en 2007 et Can en 2013), Éric Deshayes s’est imposé ces dernières années comme l’un des meilleurs spécialistes français du rock allemand des années 1970. Il revient aujourd’hui avec une bio du mythique groupe Kraftwerk, pionnier de l’électronique et à l’avant-garde de ce qui allait donner dans le reste de l’Europe la new-wave et l’EBM (Electronic Body Music, dont les représentants les plus connus sont Front 242 et DAF). Deshayes y analyse la musique du collectif arty album par album, la remettant à chaque fois dans le contexte social et culturel de l’époque et rappelant ce qu’elle a pu apporter aux musiques à venir. Bien que sa plume précise et rigoureuse nous en a déjà beaucoup appris sur les artistes de Düsseldorf, nous souhaitions relire avec lui Kraftwerk entre les lignes.

Vous avez déjà écrit plusieurs livres très documentés sur le rock allemand des années 1970. Comment est née chez vous cette passion pour le krautrock ?

Elle est simplement née de longues soirées d’écoute entre amis passionnés de musiques « bizarres », au début des années 90, lorsque le post-rock et l’électronica vantaient les mérites du krautrock. C’est venu en même temps que ma découverte des différentes tendances du jazz et des musiques dites progressives : Pink Floyd, King Crimson, Gong, Soft Machine… Et donc les Allemands Amon Düül II, Can, Kraftwerk, Tangerine Dream, Agitation Free, Cluster… Et bien d’autres. C’est peut-être même le fait que la scène allemande est foisonnante et hétéroclite qui la rend passionnante. On est jamais au bout de ses découvertes.

Si on voulait décrire la musique de Kraftwerk aux jeunes générations, quelle expression définirait le mieux le groupe, selon vous : modernité surannée, dandysme rétro-futuriste ou encore cabaret (post) industriel ?

J’emploierais plutôt l’expression de dynamisme rétro-futuriste. C’est surtout une idée de mouvement insaisissable lié à la technologie. Kraftwerk fait la jonction entre la culture électronique et la modernité des années 1920 et 1930, celle qui a amené l’électricité, les trains, la production industrielle, le design et une nouvelle typographie adaptée à la production en série. C’est un tout. L’image de Kraftwerk, c’est cela, sa musique aussi : Autobahn, Trans Europe-Express, jusqu’au titre « Aerodynamik » sur Tour de France Soundtracks en 2003. Ce dynamisme rétro-futuriste s’est imposée avec Autobahn et ne l’a jamais quitté depuis.

Kraftwerk pratique une forme d’art total (le « Gesamtkunstwerk »), qui peut être difficile à tenir sur la longueur d’une carrière, en mêlant musique, performances, images, visuel et décors, et pourquoi pas mode. Leur connaît-on aujourd’hui ou dans le passé des équivalents ?

Au contraire, Kraftwerk tient sur la longueur grâce à son concept de Gesamtkunstwerk. La grande machine a toujours besoin d’être révisée. Actuellement, le passage à la 3D redynamise Kraftwerk et l’impose dans les grands lieux d’art contemporain (le MoMA, la Tate Gallery, la Fondation Louis Vuitton…). The Wall de Pink Floyd n’est pas tout à fait un équivalent à Kraftwerk, mais la construction d’un mur sur scène, la musique, l’utilisation d’animation, puis le film au cinéma en font une œuvre d’art totale contemporaine à The Man Machine. Les concerts de Massive Attack d’il y a une dizaine d’années, avec un écran en fond de scène inspiré de Matrix, font aussi penser à ça. Et puis avant même de faire de la musique, Robert Del Naja, alias 3D de Massive Attack, était graffeur. Il a beaucoup travaillé sur les visuels de pochettes du groupe. Il y a quelque similitudes avec Kraftwerk. En poussant la logique jusqu’au bout, Michael Jackson, notamment le projet qu’il travaillait juste avant sa mort, allait assez loin dans l’union des arts, musique, vidéo, danse…

[...]

CONSULTER L’INTERVIEW DANS SON INTÉGRALITÉ SUR LE SITE DU BAZAR

Frédéric Girodineau
Le Bazar Musikal 2 novembre 2014

- À la source du sample #4 - Kraftwerk

rf8 consacre une playlist à l’ouvrage d’Éric Deshayes à travers les différents samplings célèbres de leur musique. Voyez par vous-même.

Le quatuor allemand Kraftwerk est unanimement reconnu comme LE groupe pionnier de la musique électronique. À l’occasion de leur passage événement à Paris, intéressons-nous à l’influence qu’ils ont eue sur les générations suivantes. Du rock au rap, tout le monde a samplé les morceaux de Kraftwerk, l’usine à tubes.

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Pour tout savoir sur l’histoire et la discographie de Kraftwerk, nous vous conseillons la lecture de l’excellent ouvrage d’Éric Deshayes, Kraftwerk, paru aux éditions Le mot et le reste.

ACCÈS À LA PLAYLIST KRAFTWERK

Cédric Lalanne
rf8 23 octobre 2014

- Le mot et le reste : cinq ouvrages d'une rentrée musicale

Parmi les 100 albums électro, tous ceux de Kraftwerk pourraient y figurer, tant pour le statut de « pionnier de l’électro » du groupe que les visuels de leurs pochettes, elles-mêmes autonomes dans l’univers des arts graphiques. C’est pourquoi le spécialiste de la scène expérimentale, Éric Dehays consacre un livre entier à l’ovni qu’a fait atterrir les quatre allemands au beau milieu de la vague punk. Après L’Underground en France l’auteur breton décrit l’apparition d’une esthétique musicale inédite par le groupe qui tourne le dos au nihilisme de l’époque pour réinventer l’art avec les outils modernes à travers les machines et les symboles graphiques. Kraftwerk ouvre non seulement les voies de la new wave et la musique électronique mais intègre une critique politique et sociale à travers ses performances minimalistes, leurs tenues strictes et leurs inspirations. Éric Dehays décortique cette révolution incarnée empruntant une méthode constructiviste et en s’appuyant sur les courants de l‘histoire de l’art dont c’est composé Kraftwerk pour donner de la consistance à la pop-music jusqu’alors considérée comme sous genre.

LA TOTALITÉ DE L’ARTICLE EST À RETROUVER SUR LE SITE DE LA SOURDOREILLE

Adrien
Sourdoreille 21 octobre 2014

- Contres-Cultures
Arrivé quasi en queue de comète du Krautrock, rock progressif allemand en vogue au début des 70’s, qui alliait musique planante, rock métaphysique et free jazz et dont les principaux représentant étaient Amon Düll, Can, Tangerine Dream et consorts, Kraftwerk fit très vite la différence sur ses confrères (encore marqués au sceau d’une désinvolture post hippie souvent crispante) par la création d’un concept global et d’une vision élargie de la simple rock music. Initiant l’importance de la technologie et de l’électronique dans la musique populaire, Krafwerk était composé d’individus polymorphes aux talents protéiformes (musiciens, designers, graphistes, ingénieurs du son…) Leur premier album, Kraftwerk pointa d’emblée leur obsession pour le modernisme et son écho dans la société. Inspiré par le futurisme italien et le Bauhaus allemand, Kraftwerk développa d’albums en albums un bréviaire de la musique répétitive, industrielle et saccadée qui annonçait une sorte de “cold disco” pour Bowie – qui les portait au pinacle – et d’“after punk” selon d’Yves Adrien. Kraftwerk, pas avare d’innovations, conçu l’idée de “Menschmachine” où l’homme et les machines se mêlaient introduisant bien avant Daft Punk ou mieux que The Résidents l’idée de l’anonymat et de l’approche robotique. Éric Deshayes dans cet excellent ouvrage explique ce parcours bien mieux que nous ne pourrions le faire et s’applique à montrer en dehors du simple parcours musical et des disques culte du groupe de la Ruhr (Kraftwerk 1 & 2, Radio-Activity, Trans-Europe Express…) l’importance culturel de ce collectif hors normes qui restera peut-être davantage dans l’histoire de l’art contemporain que celui de la pop music..
Cédric Bru
Les Obsédés Textuels 20 octobre 2014

- Kraftwerk, une histoire de robots ?

Pour l’amour des hauts-parleurs

Tout a été dit sur ce groupe de musique allemand, fondé en 1970 par Ralf Hutter et Florian Schneider. Tous deux de Düsseldorf et passionnés de musique expérimentale électronique et disciples indirects du maitre Karlheinz Stockhausen. Ce qui est plus bizarre, c’est qu’en 1973, ils vont avoir un succès mondial avec l’album Autobahn : à la fois froid et dansant. Au milieu des autres groupes expérimentaux allemands, ironiquement nommés KRAUTROCK (rock choucroute), comme Can, Tangerine Dream, Popol Vuh, Faust, Klaus Schulze, Neu!, ils ne font ni du rock instrumental, ni du PLANANT, ni de l’atmosphérique ou du Wagner Techno…Ils sont déjà à part. Rejoints par Wolfgang Flur et Karl Bartos, ils ont mis au point quatuor où tout est programmé, samplé, filtré, pour des sons industriels, des voix venues d’ailleurs, mais au fond une rythmique dansante et des mélodies entêtantes.

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Éric Deshayes, nait avec le groupe vers 1970 découpe et raconte cette saga dans un livre de 180 pages détaillées : biographie et concerts, albums et collaborations. Même David Bowie a voulu jouer avec eux, mais ça ne s’est pas fait.

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LIRE L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE SUR NOVAPLANET.COM

Jean Rouzaud
Novaplanet 25 septembre 2014

- Kraftwerk en musique

Shut Up And Play The Books nous offre une nouvelle fois une superbe playlist pour accompagner la chronique de l’ouvrage.

Entre analyse minutieuse de leurs titres et revue de presse à travers plus de quatre décennies, Éric Deshayes fait le portrait d’un groupe en perpétuelle recherche d’innovations tout en mettant en avant leur influence considérable sur l’évolution de la musique de ces trente dernières années : new-wave, techno, hip-hop ou encore house, autant de styles qui ont profité de leur vision de la technologie. Le livre offre un tour d’horizon complet de l’univers de Kraftwerk, et même un peu plus car les projets des anciens de la formation – de Neu! au dernier album de Karl Bartos – sont également évoqués. Une virée avec les « hommes machines » – en vélo, évidemment – des plus réjouissantes !

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L’ARTICLE COMPLET ET LA PLAYLIST EXHAUSTIVE SONT À RETROUVER ICI

Marco
Shut Up And Play The Books
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